Les dépendances on s’en débarrasse comment ?

 

Les addictions

Alcoolisme

Drogues

Origines

Solutions remèdes

Explication du phénomène et quelques petites nouvelles 

 

Coucou Tout le Monde !

Ça y est, c’est le moment !

On m’a relancé sur cet article, mais ce n’était pas encore le moment de vous lancer … pour autant, maintenant, en ce mois de septembre vous pouvez foncer, tout est en place pour vous faciliter la mise en place de tout type de changement ! oui oui Enjoy ! vous pouvez vous mettre en mode complet « je reprends mon pouvoir ! » vous serez soutenu et aidé encore plus qu’à l’habitude, si vous souhaitez mettre en place des changements positifs dans votre vie ! alors FEU

 

Personne n’est à l’abri d’être un jour concerné par un phénomène de dépendance…

 

Commençons par définir ce qu’est une addiction (dépendance) et qu’est-ce qu’être addict (dépendant) ?

Vous êtes dépendant à partir de l’instant où vous perdez la liberté de vous abstenir de consommer.

Vous ne pouvez plus vous empêcher de le faire et ce en dépit de la connaissance des conséquences négatives.

Alors, où en êtes-vous ?

Posez-vous tranquillement et questionnez-vous …

Est-ce que je consomme de l’alcool tous les jours ?

Est-ce que je prends des psychotropes tous les jours ?

Est-ce que je fais des séances de sport tous les jours ?

Dans quel état je suis si je ne peux aller courir pendant plusieurs jours ?

Quel est mon état si je ne peux pas le faire ?

Suis-je capable d’arrêter de fumer à tout moment sans frustration ?

Est-ce que je peux dormir sans mon cachet du soir ?

Etc pour le sexe, les jeux …

 

Alors où en êtes-vous ?

Pour que nos organes restent sains, il ne faudrait consommer ni alcool, ni drogues, ni médicaments, nous devrions faire du sport mais de façon raisonnée, en gros se bouger, marcher, danser, faire l’amour avec amour et non simplement consommer, en gros VIVRE sans tous ces « petits ou grands trop » qui vont à terme fatiguer l’organisme et nuire insidieusement au bien-être.

L’ARS (l’Agence Régionale de la Santé) donne cette définition : « une conduite addictive est un processus par lequel un comportement, pouvant permettre à la fois une production de plaisir et écarter ou atténuer une sensation de malaise interne, est employé d’une façon caractérisée par l’impossibilité répétée de contrôler ce comportement et sa poursuite, en dépit de la connaissance de ses conséquences négatives »

L’addiction c’est ne pas pouvoir se passer de quelque chose sans se sentir « en manque » ; « mal dans sa peau en gros »

Cette sensation désagréable, déstabilisante, ou simplement inconfortable conduit la personne à invariablement consommer encore et encore ou à effectuer des actes encore et encore.

Plus le temps passera, et plus le sujet aura des difficultés à sortir du processus et à instaurer de façon durable le changement.

Et encore faut-il se rendre compte qu’il y a dysfonctionnement.

En période de « manque », l’entourage direct en fera les frais : irritabilité, colère, mauvaise foi etc vont accompagner le processus de sevrage (qui débute dès lors que l’on stoppe la consommation et ou l’action) ; ce qui pousse le sujet à ne pas maintenir ses efforts pour s’en sortir, ou plus couramment, à simplement nier qu’il y ait une problématique.

 

Les multiples visages des dépendances :

 

La dépendance peut donc revêtir plusieurs visages et concerner des substances psychoactives ou des comportements répétés.

 

Les substances psychoactives vont modifier l’état de conscience de l’individu et agissent donc directement sur le cerveau :

Alcool

Tabac

Psychotropes

Drogues

Caféine

Et pour ma part je rajoute :

Le CBD, la cigarette électronique, le sucre, coca cola, sodas, et bien sur la dépendance affective …

 

On ne cessera jamais de proposer et de commercialiser des produits nocifs pour la santé, à vous de discerner et de faire vos choix, c’est le jeu ici …

Bref … vous pouvez tout simplement vous dire que cela dans un premier temps peut concerner tout ce qui est ingéré … dites-vous bien que certains sont complètement dépendants au Coca Cola, ou aux burgers, au gras ! et oui, on en parle pas mais ça existe bel et bien malheureusement.

 

Les addictions liées à un comportement répété vont concerner les jeux, les dépendances sexuelles, l’hypersexualité, les achats compulsifs, les troubles alimentaires, la dépendance aux jeux vidéo, tv, internet, dépendance affective, dépendance au travail.

 

Comment devient-on dépendant ?

C’est un cheminement progressif, qui va s’installer dans le temps.

 

On identifie 3 niveaux d’évolution :

Le premier stade est l’installation de la dépendance psychologique :

Après consommation ou pratique du comportement, la personne ressent de la satisfaction, un mieux-être, qui peut être soit stimulant, soit apaisant, soit soulageant.

Ce qui va induire la personne à répéter ce qui a induit le mieux-être.

Ce stade sera accentué par l’environnement extérieur de la personne et/ou : travail difficile, environnement personnel toxique, épreuves traversées par le passé non évacuées ou dans le présent et partiellement tues ou ignorées, gestion du stress, deuil, la tristesse d’une vie à 2 non épanouissante, ne trouver aucune solution pour se sentir mieux et supporter.

C’est souvent une façon de supporter, de se taire en oubliant qui l’ont est, ce que l’on supporte, de se dire que tout ira mieux ensuite, que ce n’est que transitoire etc

Durant toute cette phase, la personne si elle est consciente de la dangerosité des produits ou comportements va s’auto persuader qu’elle garde et pourra toujours grader le contrôle.

Ce qui est bien sur totalement faux, d’où l’importance de communiquer sur les dépendances.

Savoir, connaitre un processus, permet à l’individu de pouvoir le reconnaitre quand il commence à s’installer et de lui donner une chance de reprendre le pouvoir.

Car s’est encore bien de cela qu’il s’agit : petit à petit c’est le produit et/ou le comportement qui deviendrons le ou les Maîtres…

 

Ensuite, arrive le stade de la dépendance psycho-comportementale :

Là intervient l’habitude … ça peut commencer par boire un apéritif tous les soirs après le travail, prendre de la cocaïne avant une grande réunion où l’on doit prendre la parole en public, « fumer juste un pétard » dans la soirée etc. et en un rien de temps vous serez en mode pilotage automatique …

Le pilotage automatique, c’est ici le fait de faire par réflexe.

Le cerveau reptilien va réactiver l’envie : exemple, vous parler de jeux vidéo avec un ami, automatiquement l’envie de jouer va vous être envoyée et vous ne penserez plus qu’à ça, jusqu’à avoir pu combler votre besoin …

Comment s’en sortir : comme je vous l’ai dit plus haut : en connaissant ce processus, vous avez déjà l’opportunité de pouvoir l’identifier quand il se manifeste ! Enjoy !

On arrive ensuite au stade final : celui de la dépendance physique

Et là c’est le drame ?  

Oui, parce que vous subissez les affres des symptômes liés aux consommations excessives, non appropriées : des crises d’angoisses, des modifications de votre personnalité, de votre comportement, agressivité, mensonge, plus grande sensibilité, émotivité (souvent vous-même ne parvenez plus à vous en rendre compte) transpiration excessive, tremblements, défaillance, pertes de mémoire, désorientation, difficulté à réaliser des actes du quotidien, du mal à se lever, du mal à se coucher, maux de ventre de tout type, migraines, somnolence etc

Avant et pendant ce stade, vous verrez votre entourage probablement évoluer … car vous « changez d’état »

Rappelez-vous toujours qu’on attire ce (situations) et ceux qui résonnent avec nous, avec ce que nous avons à vivre, à tester, à guérir, à explorer … pas de hasard, pas de chance, pas de disgrâce, ça n’existe pas en tant que tel.

Misez sur l’impermanence de toutes choses, car vous pouvez tout changer, en fonction de ce que vous décidez, valider et des actes que vous poserez ensuite.

Bien sûr, à l’intérieur de ces 3 stades, il y a encore des stades et plus vous avancerez dans la dépendance plus vous descendrez profondément et vous trouverez confronté à de plus en plus nombreux symptômes, qu’il vous faudra gérer.

Intégrer que c’est un processus lent, insidieux, et que, s’il n’est pas arrêté vous détruira la vie, purement et simplement.

D’ailleurs, beaucoup des personnes dépendantes se servent de leurs addictions pour en finir définitivement avec la vie (c’est dans l’inconscient que tout cela se passe dans la plupart des cas)

L’entourage ne peut que rarement y faire quelque chose, accompagner, être présent, écouter, reste alors la meilleure façon d’être disponible à toute forme de demande d’aide.

Pour pouvoir sortir du processus des dépendances, il faut le vouloir, en avoir profondément envie, et être encore en capacité physique et intellectuelle de manifester ce choix. Et croyez-moi, ce n’est pas toujours réalisable non plus.

Le dépendant doit donc trouver une ou des motivations, avoir l’envie de se libérer et se trouver dans une situation qui lui permet de le faire.

 

Ceci étant entendu, comment on s’en sort ?

Une fois, la décision prise, il va falloir apprendre à se connaitre, et à se comprendre.

Pour se faire, on va alimenter le cerveau rationnel, le Néocortex.

Ce cerveau à part en entière, une fois alimenté prendra le dessus sur le cerveau reptilien et sur le cerveau limbique.

C’est ce cerveau qui vous permettra de reprendre le contrôle.

Cerveau reptilien : la survie !

C’est le siège même de toutes les dépendances, des pulsions, des instincts primaires de survie, l’élan de vie.

On pourrait dire qu’il est « basique » : action – réaction

Cerveau limbique : l’émotionnel

C’est notre GPS interne dominé par nos mémoires, siège de l’ego, de la personnalité, orienté par le cerveau reptilien dans la quête de la préservation de l’élan vital.

Vous l’avez compris le cerveau reptilien et le cerveau limbique peuvent « s’emballer » chacun à cause de leur mode de fonctionnement, le travail sur soi permettra au Néocortex qui est au service du moi profond de prendre le dessus.

Donc si addiction et quelle qu’elle soit : on se fait aider : tout thérapeute avec lequel vous établirez une relation de confiance fera l’affaire peu importe sa dénomination.

L’enjeu étant qu’il ne fasse pas que vous écoutez, ou dialoguer, mais que ce thérapeute vous apporte des réponses, des outils, vous donne des clefs sur qui vous êtes, vos besoins profonds et essentiels, qu’il vous confronte, car cela fait partie aussi du parcours de guérison et d’évolution…

Le processus de prise de conscience n’est pas agréable ! mais les choses doivent être dites, connues, pour avoir une chance d’être entendu, puis acceptées et libérées.

On ne devient pas dépendant sans qu’il y ait souffrance, blessure, un terrain favorable … et c’est là qu’il faut aller pour ensuite entamer le processus de libération et de guérison.

A ce stade vous l’aurez compris rien n’est possible sans être conscient, déterminé, patient, c’est un chemin, je dirais même une initiation surtout, bien sûr, si on parvient à la libération… là vous vous sentirez incroyablement libre, et fort.

Ci-dessous je vous propose un graphique (site belge AIDE ALCOOL) qui regroupe les symptômes liés à la période de sevrage, ils seront d’autant plus intenses, que le niveau de dépendance est installé et notamment dans le temps.

Entre 7 et 10 jours d’abstinence, les symptômes auront disparus.

Le pic étant après 24 heures et 3 jours après le début du sevrage vous aurez passé le pire.

Le résiduel peut être des insomnies, des idées noires, des questions existentielles persistantes du type : à quoi bon vivre etc.

Donc, vous l’aurez compris il vous faut être MOTIVE … sinon rien ne sera possible.

Aussi, selon le stade atteint concernant la dépendance, il peut être dangereux de souhaiter se sevrer seul chez soi, même si beaucoup le font, intégrer un centre médical spécialisé peut être LA solution.

 

Pourquoi arrêter ?

Si vous vous posez encore la question c’est certainement que vous n’êtes pas totalement prêt à sauter le pas du sevrage …et ce n’est pas grave, il faut du temps pour passer à l’action et c’est tout à fait normal alors NON vous n’êtes pas faible, non vous ne manquez pas de volonté …

Si vous décidez qu’à un moment vous arrêterez, et que vous vous le répétez régulièrement alors vous pourrez le faire, et même ce moment s’imposera à vous de lui-même.

Aussi, si vous chutez pendant une cure de sevrage ou que tout simplement vous reconsommez et que vous vous trouvez encore une fois faible, incapable etc …. là encore, ce n’est pas qu’un moment dans le parcours de guérison et il passe Toujours par ce type de phases, plus ou moins marquées.

En arrêtant tout type de dépendance, vous améliorerez votre qualité de vie :

Meilleure hygiène de vie

Meilleure forme physique

Meilleure forme « mentale »

Meilleure perception de soi, de qui je suis

Si l’on prend l’exemple de l’alcool, du tabac ou de toute autre forme de drogues :

Vous dormirez mieux, vous vous sentirez moins fatigué, vous aurez les idées claires, vous retrouverez petit à petit votre capacité à vous concentrer, vous retrouverez une jolie peau, moins de cernes, plus de boursouflures (à des stades élevés de consommation), meilleure circulation du sang, perte de poids et de graisse, régénération des organes qui souffrent le plus des addictions et en première ligne le foie … des études montrent que le foie met environ 15 jours pour être régénéré.

Et on peut aider tous ses organes à se régénérer plus vite en adaptant son alimentation.

 

Voici quelques préconisations simples et très efficaces, pour vous aider tout au long de votre parcours de libération :

Le citron :

Un jus de citron tous les matins va permettre au foie de se détoxifier plus rapidement.

En stimulant la production de bille, le citron va aider le foie à évacuer les graisses plus facilement.

 

Le pamplemousse :

Il détoxifie le foie en boostant certains enzymes.

A boire quand vous le souhaitez en complément du jus de citron ou en alternance.

Le gingembre :

Consommé en tisane, ou directement en racine, un indispensable de choix pour éliminer les toxines, super aliment qui permet aussi de renforce r le système immunitaire.

Les remèdes « miracle » n’existent pas, mais il y a certaines plantes qui viennent vous donner des coups de pouce.

Je pense au Kudzu, au millepertuis, à la passiflore, à l’aubépine, à la rhodiola etc globalement toutes les plantes qui vont avoir un effet sur le stress.

J’ai voulu me pencher un peu sur le Kudzu car il s’agit, en tout cas pour ma part d’une récente découverte, et aussi il me semble plus généralement, pour les occidentaux.

Le Kudzu nous vient de Chine. Principalement constitués d’isoflavones, la vertu principale de cette plante va être sa capacité à nous apaiser.

Elle contient également des saponosides et des phytostérols.

Aujourd’hui, en occident on constate un véritable engouement pour cette plante qui est donc fortement conseillée par les naturopathes, et tout praticien favorable aux « médecines naturelles » SAUF que comme pour un médicament toutes les plantes ne sont pas indiquées pour tout le monde et il y a donc, tout autant de contre-indications.

Comme pour l’utilisation des huiles essentielles, on se retrouve confronté à de mauvaises utilisations, à des excès de confiance, à un manque de mesure, peut être encore renforcé par le sentiment de « reprendre son pouvoir en faisant ses petites mixtures soi-même » ?

Vous voulez faire par vous-même : cherchez, expérimentez, testez, mais travaillez aussi avec des revues scientifiques, et c’est le croisement de tout cela qui vous permettra d’atteindre la connaissance la plus juste.

Quoiqu’il en soit ne jouez pas les apprentis sorciers, on fini toujours pas se bruler les doigts par trop de certitudes, trop de confiance et toujours ce fameux manque de discernement.

Pour revenir rapidement justement sur le Kudzu qui est donc constitués d’isoflavones, il est prouvé maintenant que la consommation d’isoflavones est déconseillée en cas de cancer du sein, ou d’antécédents, donc si c’est votre cas, il est totalement à exclure.

Et j’insiste, de même comme avec toute autre plante, il y a des interactions possibles avec certains traitements, certains médicaments, donc prenez le temps de bien vérifier et cela vaut pour toute supplémentation.

En cas de doute, demandez !

 

Maintenant sur la partie spirituelle

Selon votre chemin d’incarnation, au jour d’aujourd’hui dans ce système tel qu’il est paramétré (ça changera), la majorité de nos actions, pour ne pas dire bien plus, sont liées à notre destinée, et dans le cas des dépendances de tout ordre, la proportion de l’élément prédestiné est encore plus grande.

En sachant aussi, que les plus « gros » événements de votre vie comme votre naissance, les rencontres importantes, les accidents graves, et bien sur votre mort sont prédestinées.

Les plus avancées sauront déjà, que les dépendances nourrissent des entités demandeuses dans le plan subtil, et que c’est également une des raisons pour lesquelles, il est si difficile de s’en défaire …

Comprendre la réalité de ce Monde, demande beaucoup beaucoup de travail, une grande patience, humilité, authenticité, discernement, les dysfonctionnements de l’ego sont un handicap, et doivent être sans cesse corrigé. C’est un travail quotidien, astreignant, contraignant, difficile.

Certains sont ici pour vous aider, vous guider, sachez les reconnaitre et en cas de doute préférez toujours continuer votre chemin seul, plutôt que d’être mal accompagné…

Nous sommes depuis une dizaine d’années entrés dans l’ère des grandes transformations, révélations, divulgations, beaucoup vont s’en servir pour vous enfermer dans de nouvelles croyances, d’anciens rites vont refaire surface.

Vous penserez être sur le chemin du graal, alors qu’il s’agit juste de la mise en place progressive du nouveau monde.

La soif inconsidérée de connaissances est souvent elle-même une manifestation d’un ego dysfonctionnel, observez, et concentrez-vous sur l’essentiel : votre vie terrestre, votre famille, vos enfants, vos amis, votre santé, faire le bien, aider, et travaillez à votre évolution personnelle.

Sur ce point, pour les personnes qui étaient en atelier avec moi cet été, ne relâchez pas vos efforts, pratiquez ce que je vous ai transmis.

Et je vous dis à vendredi pour notre rencontre de 13h00, prévoyez 1 heure pour l’atelier élévation de conscience et ensuite je garderai avec moi les participantes aux ateliers de cet été.

Et toujours vous pouvez me transmettre vos questions etc jusqu’à jeudi.

Je vous envoies tout mon amour et des pensées pleines de couleurs !

 

 

 

(Je suis autodidacte, exploratrice, "expérienceuse", qui travaille seule, et qui a choisi de se mettre au service, pour vous aider dans votre parcours d'évolution individuelle et personnelle.

J’ai choisi de transmettre mes avancées, mes compréhensions, mes expériences, avec certaines limites toutefois, je ne peux pas tout dire, je ne sais pas "tout" et je manque de temps, tout comme vous tous ... Aussi, concernant ma chaine YouTube, elle n'a pas pour vocation de  faire ma promotion personnelle ou la promotion de mes pratiques, d'ailleurs vous rendrez compte que je n'ai que peu publié ... Mais plutôt de vous aider et de vous accompagner, en toute simplicité.

D'ailleurs, ces vidéos sont à usage principalement de ceux et celles qui bénéficient de mes accompagnements, qui participent aux séances zoom, mais aussi pour tous ceux qui les découvrirons par "hasard" …)

les dernières vidéos :

https://www.youtube.com/watch?v=69SGr_OMmdc&t=43s

https://www.youtube.com/watch?v=2XBko5TkDDU&t=112s